Combat de Titan sur le dos des peuples
Un combat de Titan se joue derrière notre dos, et sur notre dos. Bloc occidental contre bloc russe. Les uns veulent accroître leur influence, les autres retrouver la leur ou au moins éviter l'encerclement. Les dindons de la sinistre farce qui se joue ? Les peuples. Sacrifiés aux intérêts militaro-financiers....
Pour moi, le fait que les Turcs et les Arméniens se rapprochent, est une excellente nouvelle. Cela va incontestablement dans le sens d'un resserrement des liens pour s'opposer, sinon directement, du moins indirectement, à Washington. Les Turcs ont appris à se méfier de leurs prétendus alliés américains.
La Russie est de moins en moins isolée. Les Américains voient leur zone d'influence se rétrécir, et la lutte sera terrible pour le contrôle de l'Ukraine, dont une partie importante de la population est tentée par le retour dans le giron russe. En sous-mains, les USA tentent de destabiliser l'Ukraine à leur profit. A surveiller : Zone de graves turbulences.
La "guerre froide" reprend de plus belle, voulue par Washington, avec derrière elle, ou devant, une Angleterre qui met de l'huile sur le feu, en Europe comme dans le Caucase. La G.B. veut conserver son influence dans la zone, au profit de la City.
Je n'hésite pas à dire qu'en sous-mains, l'Angleterre fait tout pour dresser les Européens, et des pays comme la Georgie et l'Ukraine, contre la Russie. Le Grand Capital anglo-saxon ne veut pas perdre des zones d'influence au profit de la Russie.
La lutte s'annonce "chaude". Pour ma part, je pense que l'Angleterre sera prête à provoquer une guerre pour maintenir son pré-carré, et empêcher la Russie, par tous les moyens, de reconquérir le territoire perdu. Le Grand Capital n'a pas d'états d'âme. Les peuples, il ne s'en soucie pas. L'Argent n'a pas d'odeur, dit-on, et surtout pas de morale. Nous assistons à un combat de Titan : La Russie renaissante, et ses alliés (1) de plus en plus nombreux (sans doute excédés par l'hégémonie sauvage, criminelle, des USA), face au Mur de l'Argent occidental, avec à sa tête le trio infernal, bien sûr (GB-USA-Israël) mais aussi, désormais, l'Europe vassale, dirigée actuellement par un valet du Grand Désordre Etabli.
Comme je l'ai écrit dans un article, le loup (les anciennes républiques soviétiques) est entré dans la bergerie (L'Europe).
La nature de l'Europe est en train de changer fondamentalement. Il ne s'agit plus d'une alliance des Etats Européens dans une optique de paix, mais d'une entité au service des visées hégémoniques de l'Amérique impérialiste, friande de guerres permanentes de conquêtes ou, au moins, de maintien de son influence. L'Europe vassalisée est devenue le supplétif des USA dans la région, et sa tête de pont pour contenir la Russie. Autant dire que l'Union pour la paix est en train de devenir une machine de guerre au service des visées hégémoniques de l'Amérique, pour contenir la puissance retrouvée de la Russie dirigée par un génial joueur d'échec. Et tout cela au détriment des peuples. L'objectif, au final, étant de venir à bout de la Russie, sinon militairement du moins géographiquement, et d'arriver à placer là aussi un supplétif de Washington, un valet de l'Empire docile, prêt à brader les intérêts russes au profit de la mafia financière et industrielle de l'Occident.
Les ressources de la Russie attisent les convoitises. L'Occident voudrait bien s'en emparer, au profit des Cheney and Co. Celui-ci, d'ailleurs, se promène beaucoup dans la région, et cela ne présage rien de bon pour les peuples du Caucase comme d'Europe. Vous remarquerez que le ballet diplomatique incessant est à peine évoqué par les grands médias au service de la machine militaro-financière. Mme Rice tente d'amadouer des pays rétifs comme la Lybie, Sarkozy flatte son homologue Syrien, au moment même où Cheney vient placer son venin dans le Caucase. Inutile de dire que tout cela ne présage rien de bon pour les peuples, seulement utiles comme chair à canon ou, toujours plus pressurés, comme source de profit des gradns patrons et de leurs actionnaires.
Et sur l'échiquier du monde, dans lequel les peuples sont de simples pions placés et déplacés au gré des intérêts des puissants, Washington en perte d'hégémonie vient de marquer un point, en mettant un de ses hommes à la tête du Pakistan. Dans cette affaire, la morale n'a que faire : Le nouvel élu est un homme hautement corrompu, servile, comme l'Amérique les aime, une marionnette richissime et toute dévouée à ses maîtres, n'ayant que faire des intérêts de son peuple. Le Pakistan détient la bombe nucléaire, et dans ses contreforts montagneux se livre une lutte sans merci entre les autochtones et l'OTAN. Carte maîtresse pour les USA, donc, mais dangereuse : Le peuple n'approuve pas toutes ces manoeuvres, il n'est pas derrière le nouvel élu de Washington. Risque d'attentat ? Explosion du peuple mécontent ? Et quel rôle jouera l'Armée ?
Comme si tout cela ne suffisait pas, voici venir une nouvelle menace, en la personne de John Mc Cain, sans doute futur Président des Etats-Unis. Celui-ci a une vision de guerre froide, il a été nourri dans cette hantise, et rien ne dit qu'il ne sera pas encore pire que Bush dans le contexte actuel. A mon avis, il ne manquera pas d'alimenter les tensions, en soutenant des guerres préventives permanentes contre tous ceux qui lui rappelleront de mauvais souvenirs.
Est-ce tout ? Pas du tout. En Europe, Sarkozy a été placé à la tête de la France non pour la servir, mais pour être le relais d' intérêts étrangers, américains, israéliens, et anglais - jamais dirigeant français n'a été aussi bien reçu en GB, et c'est là qu'il a, honte suprême pour nous, fait part de ses projets en Afghanistan, projets d'ailleurs décidés seul. Quant à la chancelière allemande, comme je vous l'ai annoncé, elle défend les intérêts d'un pangermanisme renaissant. Elle est une alliée des anglo-saxons, certes, mais avec toutes sortes d'arrières-pensées : Elle souhaite surtout défendre les intérêts de la Grande Allemagne désormais militarisée . Curieusement, Berlusconi, qui a des intérêts pétroliers en Russie, semble freiner les ardeurs de ses alliés envers le voisin soviétique de l'Europe. Ne parlons pas des Polonais et des autres Etats dissidents de l'URSS, ils sont toujours plongés dans un contexte de revanche. L'Europe pour la paix est morte.
Et lorsqu'on sait qu'en arrière plan le NOM veille, et qu'il place les uns après les autres ses pions en vue d'un monde unipolaire dirigé par une élite sur les décombres des Etats nations, et des peuples sacrifiés, on se demande si nous ne sommes pas tous en train d'aller droit dans le mur, d'autant qu'en sous-mains aussi, les industriels de la mort brûlent d'essayer sur nous leurs dernières trouvailles en matière d'armement nucléaire, biologique... Oui, l'homme est fou. Ceux qui détiennent le pouvoir ont mis en route un processus qu'ils croient maîtriser, mais rien n'est moins sûr. Outre le fait que les populations seront sacrifiées, on ne sait jamais comment les jeux des apprentis-sorciers peuvent se terminer.
La machine à exterminer une partie d'entre nous est probablement en route, et si nous n'arrivons pas à coordonner la révolte des peuples aux quatre coins de la planète pour dire en masse non à l'intolérable qui se prépare, via Internet ou de grandes organisations politiques ou syndicales (je les soupçonne d'être complices, achetées), le pire est à craindre.
Tout se passe derrière notre dos. Concocté par une petite poignée de psychopathes. Et avec le soutien des médias criminels, devenus nos pires ennemis. Quant aux élus, ils vendent leur âme pour un plat de lentilles, et ils ne s'intéressent à leurs électeurs que pour arriver au pouvoir. Traîtres à la nation !
Que dire de plus ? Soyons solidaires contre nos bourreaux ; Leurs plans sont maléfiques. Les Russes et les Chinois ne sont pas nos ennemis. Mais ceux-là mêmes qui n'ont à la bouche que les mots de démocratie irréprochable, de civilisation, ou de monde libre...
Le compte a rebours a sans doute commencé. Résistons jusqu'au bout à l'intolérable qui se prépare !
Eva / R-sistons
(1) L'Organisation de coopération de Shanghaï, l'Organisation du Traité de sécurité collective (Arménie, Biélorussie, Kazakhstan, Kyrgyzstan, Tadjikistan et Ouzbekistan), le Nicaragua, l'Iran, le Venezuela, etc
La Russie est de moins en moins isolée. Les Américains voient leur zone d'influence se rétrécir, et la lutte sera terrible pour le contrôle de l'Ukraine, dont une partie importante de la population est tentée par le retour dans le giron russe. En sous-mains, les USA tentent de destabiliser l'Ukraine à leur profit. A surveiller : Zone de graves turbulences.
La "guerre froide" reprend de plus belle, voulue par Washington, avec derrière elle, ou devant, une Angleterre qui met de l'huile sur le feu, en Europe comme dans le Caucase. La G.B. veut conserver son influence dans la zone, au profit de la City.
Je n'hésite pas à dire qu'en sous-mains, l'Angleterre fait tout pour dresser les Européens, et des pays comme la Georgie et l'Ukraine, contre la Russie. Le Grand Capital anglo-saxon ne veut pas perdre des zones d'influence au profit de la Russie.
La lutte s'annonce "chaude". Pour ma part, je pense que l'Angleterre sera prête à provoquer une guerre pour maintenir son pré-carré, et empêcher la Russie, par tous les moyens, de reconquérir le territoire perdu. Le Grand Capital n'a pas d'états d'âme. Les peuples, il ne s'en soucie pas. L'Argent n'a pas d'odeur, dit-on, et surtout pas de morale. Nous assistons à un combat de Titan : La Russie renaissante, et ses alliés (1) de plus en plus nombreux (sans doute excédés par l'hégémonie sauvage, criminelle, des USA), face au Mur de l'Argent occidental, avec à sa tête le trio infernal, bien sûr (GB-USA-Israël) mais aussi, désormais, l'Europe vassale, dirigée actuellement par un valet du Grand Désordre Etabli.
Comme je l'ai écrit dans un article, le loup (les anciennes républiques soviétiques) est entré dans la bergerie (L'Europe).
La nature de l'Europe est en train de changer fondamentalement. Il ne s'agit plus d'une alliance des Etats Européens dans une optique de paix, mais d'une entité au service des visées hégémoniques de l'Amérique impérialiste, friande de guerres permanentes de conquêtes ou, au moins, de maintien de son influence. L'Europe vassalisée est devenue le supplétif des USA dans la région, et sa tête de pont pour contenir la Russie. Autant dire que l'Union pour la paix est en train de devenir une machine de guerre au service des visées hégémoniques de l'Amérique, pour contenir la puissance retrouvée de la Russie dirigée par un génial joueur d'échec. Et tout cela au détriment des peuples. L'objectif, au final, étant de venir à bout de la Russie, sinon militairement du moins géographiquement, et d'arriver à placer là aussi un supplétif de Washington, un valet de l'Empire docile, prêt à brader les intérêts russes au profit de la mafia financière et industrielle de l'Occident.
Les ressources de la Russie attisent les convoitises. L'Occident voudrait bien s'en emparer, au profit des Cheney and Co. Celui-ci, d'ailleurs, se promène beaucoup dans la région, et cela ne présage rien de bon pour les peuples du Caucase comme d'Europe. Vous remarquerez que le ballet diplomatique incessant est à peine évoqué par les grands médias au service de la machine militaro-financière. Mme Rice tente d'amadouer des pays rétifs comme la Lybie, Sarkozy flatte son homologue Syrien, au moment même où Cheney vient placer son venin dans le Caucase. Inutile de dire que tout cela ne présage rien de bon pour les peuples, seulement utiles comme chair à canon ou, toujours plus pressurés, comme source de profit des gradns patrons et de leurs actionnaires.
Et sur l'échiquier du monde, dans lequel les peuples sont de simples pions placés et déplacés au gré des intérêts des puissants, Washington en perte d'hégémonie vient de marquer un point, en mettant un de ses hommes à la tête du Pakistan. Dans cette affaire, la morale n'a que faire : Le nouvel élu est un homme hautement corrompu, servile, comme l'Amérique les aime, une marionnette richissime et toute dévouée à ses maîtres, n'ayant que faire des intérêts de son peuple. Le Pakistan détient la bombe nucléaire, et dans ses contreforts montagneux se livre une lutte sans merci entre les autochtones et l'OTAN. Carte maîtresse pour les USA, donc, mais dangereuse : Le peuple n'approuve pas toutes ces manoeuvres, il n'est pas derrière le nouvel élu de Washington. Risque d'attentat ? Explosion du peuple mécontent ? Et quel rôle jouera l'Armée ?
Comme si tout cela ne suffisait pas, voici venir une nouvelle menace, en la personne de John Mc Cain, sans doute futur Président des Etats-Unis. Celui-ci a une vision de guerre froide, il a été nourri dans cette hantise, et rien ne dit qu'il ne sera pas encore pire que Bush dans le contexte actuel. A mon avis, il ne manquera pas d'alimenter les tensions, en soutenant des guerres préventives permanentes contre tous ceux qui lui rappelleront de mauvais souvenirs.
Est-ce tout ? Pas du tout. En Europe, Sarkozy a été placé à la tête de la France non pour la servir, mais pour être le relais d' intérêts étrangers, américains, israéliens, et anglais - jamais dirigeant français n'a été aussi bien reçu en GB, et c'est là qu'il a, honte suprême pour nous, fait part de ses projets en Afghanistan, projets d'ailleurs décidés seul. Quant à la chancelière allemande, comme je vous l'ai annoncé, elle défend les intérêts d'un pangermanisme renaissant. Elle est une alliée des anglo-saxons, certes, mais avec toutes sortes d'arrières-pensées : Elle souhaite surtout défendre les intérêts de la Grande Allemagne désormais militarisée . Curieusement, Berlusconi, qui a des intérêts pétroliers en Russie, semble freiner les ardeurs de ses alliés envers le voisin soviétique de l'Europe. Ne parlons pas des Polonais et des autres Etats dissidents de l'URSS, ils sont toujours plongés dans un contexte de revanche. L'Europe pour la paix est morte.
Et lorsqu'on sait qu'en arrière plan le NOM veille, et qu'il place les uns après les autres ses pions en vue d'un monde unipolaire dirigé par une élite sur les décombres des Etats nations, et des peuples sacrifiés, on se demande si nous ne sommes pas tous en train d'aller droit dans le mur, d'autant qu'en sous-mains aussi, les industriels de la mort brûlent d'essayer sur nous leurs dernières trouvailles en matière d'armement nucléaire, biologique... Oui, l'homme est fou. Ceux qui détiennent le pouvoir ont mis en route un processus qu'ils croient maîtriser, mais rien n'est moins sûr. Outre le fait que les populations seront sacrifiées, on ne sait jamais comment les jeux des apprentis-sorciers peuvent se terminer.
La machine à exterminer une partie d'entre nous est probablement en route, et si nous n'arrivons pas à coordonner la révolte des peuples aux quatre coins de la planète pour dire en masse non à l'intolérable qui se prépare, via Internet ou de grandes organisations politiques ou syndicales (je les soupçonne d'être complices, achetées), le pire est à craindre.
Tout se passe derrière notre dos. Concocté par une petite poignée de psychopathes. Et avec le soutien des médias criminels, devenus nos pires ennemis. Quant aux élus, ils vendent leur âme pour un plat de lentilles, et ils ne s'intéressent à leurs électeurs que pour arriver au pouvoir. Traîtres à la nation !
Que dire de plus ? Soyons solidaires contre nos bourreaux ; Leurs plans sont maléfiques. Les Russes et les Chinois ne sont pas nos ennemis. Mais ceux-là mêmes qui n'ont à la bouche que les mots de démocratie irréprochable, de civilisation, ou de monde libre...
Le compte a rebours a sans doute commencé. Résistons jusqu'au bout à l'intolérable qui se prépare !
Eva / R-sistons
(1) L'Organisation de coopération de Shanghaï, l'Organisation du Traité de sécurité collective (Arménie, Biélorussie, Kazakhstan, Kyrgyzstan, Tadjikistan et Ouzbekistan), le Nicaragua, l'Iran, le Venezuela, etc
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil