L’ONU inféodé au pouvoir de l’argent des riches nations.

Pendant que des frappes barbares de l’armée israélienne se poursuivent au Liban et en Palestine avec l’aval des États-unis. Pendant que la trêve promise par les dirigeants israéliens n’est devenue qu’un mensonge de plus. Pendant que deux peuples meurent sous les bombes de Tsahal et que des enfants sont les principales victimes, le Conseil de sécurité de l’ONU se préoccupe d’avantage de museler l’Iran dans sa poursuite de ses activités d’enrichissement d’uranium, faute de quoi il envisagera des sanctions. Par contre rien ne ressort de cet organisme pour museler l’État Hébreux dans son escalade de mort. C’est une honte !

L’ONU a laissé Israël se doter d’une puissance nucléaire capable aujourd’hui de vitrifier la planète, mais maintenant refuse à l’Iran d’en faire autant, en autant que cela soit le désir de ce dernier. L’Iran possède une forte proportion du pétrole dans le monde et la peur des nations occidentales dont l’ONU est le pantin, est de voir un jour ce pays contrôler à part entière ses richesses pétrolifères. L’or noir et l’argent qu’il rapporte sont les principales raisons qui font que l’ONU se préoccupe bien plus de l’Iran que de tous les civils qui meurent sous les bombes de l’armée de l’État hébreux. C’est une honte !
L’ONU a maintes fois par toutes sortes de résolutions, condamné l’État d’Israël pour crimes humanitaires, mais qu’a-t-elle fait en réalité pour arrêter le massacre ? Rien ! Par contre, présentement elle met en garde l’Iran, la menaçant de toutes sortes de sanctions. Selon l’article 41, le conseil de sécurité peut décider de mesures incluant l’interruption complète ou partielle des relations économiques et la rupture des relations diplomatiques. Relations économiques, entendons par là un embargo sur toute l’organisation de la production, la circulation des richesses de l’Iran. La seule arme dissuasive de ce dernier est le pétrole. Et si l’Iran fermait ses pompes à l’Occident, qu’est-ce qui empêcherait les États-unis et Israël alors d’attaquer l’Iran ? Nous savons que ces deux nations n’ont jamais eu de considérations pour quelques nations que se soit, quand elles contreviennent à leur économie. L’ONU se fait donc l’allié inconditionnel des fouteurs de merde qui ne pensent qu’à leur profit. C’est une honte !
Mais continuons...Pour bien expliquer ce que nous avançons, voici ce que nous dit l’ambassadeur des États-Unis à l’ONU monsieur John Bolton : « Nous espérons que la résolution 41 montrera à l’Iran que le meilleur moyen de briser son isolement international est d’abandonner l’Idée d’acquérir des armes nucléaires » Faut-il être menteur à souhait, car les pétroliers américains qui couchent tous dans le giron de l’administration Bush, sont les premiers à dicter au gouvernement américain leur craintes et leurs doléances, quant à l’approvisionnement en pétrole. Tout est organisé d’avance par ces deux compères afin de museler l’Iran et de pouvoir lui siphonner son pétrole sans trop de casse. Et Israël qui n’est alimenté en fuel que par le bon vouloir des États-unis se range sans conditions sous l’aile de l’aigle américain. C’est une honte !
Autrement dit, tout est planifié par Les États-Unis, une bonne partie de l’Europe et Israël pour finir par avoir la main mise sur toutes les sources pétrolifères du Proche et Moyen Orient. C’est la même chose en Afghanistan et en Irak...pendant ce temps le courageux Hugo Chavez condamne Israël et les États-unis pour leurs crimes. À quand des représailles envers le Venezuela ? Partout on nous laisse croire que c’est soit pour éradiquer les Talibans ou pour instituer des démocraties dans ces pays. Foutaise, seul le pétrole intéresse les vampires qui s’attaquent à ces nations.
Le problème que commence à réaliser ces nations coalisées pour s’approprier le pétrole, c’est la difficulté qu’elles rencontrent face aux guérillas qui s’installent de plus en plus dans tous ces pays qui se défendent avec les moyens du bord. Il est difficile d’anéantir les guérillas. Les Américains devraient le savoir, puisque ce sont ces groupes armés qui les ont chassés du Viêt-Nam. Quand toutes ces nations coalisées qui attaquent se feront foutre dehors des pays qu’elles désirent asservir, cela ne sera plus une honte, mais une délivrance pour le monde entier. L’ONU devra alors être repensée en profondeur, afin qu’elle cesse d’être du côté de la force et du pouvoir de l’argent.
Pourtant, pendant ce temps, les Palestiniens et les Libanais crient toujours au secours et l’ONU ne les entend pas !
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