vendredi, octobre 10, 2008

Maroc: Appel à la suppression de la peine capitale


La Coalition marocaine contre la peine de mort a exprimé sa "grande inquiétude" de la poursuite de prononciation de condamnations à la peine capitale par les tribunaux marocains et appelé à la suppression de cette peine de la législation du royaume chérifien, dans dans un communiqué transmis jeudi à la PANA à Rabat à la veille de la célébration de la Journée mondiale contre la peine de mort.
La Coalition, qui a réitéré dans son communiqué son "grand étonnement" de l'attitude d'abstention au vote de la résolution 149/62 relative au moratoire sur les exécutions de la peine adoptée lors de la 62ème session de l'Assemblée générale des Nations unies, appelle l'Etat marocain à revoir sa position en adhérant au groupe de pays ayant signé cette résolution qui constitue une étape importante sur la voie de l'abolition totale de la peine de mort.Tout en rappelant les précédentes promesses officielles concernant l'abolition de la peine de mort, la Coalition enregistre avec "regret" le non-respect des dites promesses et renouvelle son appel pressant à l'adhésion du Maroc aux mécanismes internationaux s'y rapportant, à travers la ratification du 2ème Protocole facultatif concernant la peine de mort, annexe au Pacte international relatif aux droits politiques et civiques et aussi du statut de la Cour pénale internationale (CPI) qui ne prévoit pas de peine de mort, même pour des cas de délits des plus graves tels que les crimes de guerre, génocide et crimes contre l'humanité.
Elle demande, en outre, la concrétisation des résultats du Colloque national sur la politique pénale organisée par le ministère de la Justice en décembre 2004 à Meknès et appelle à une réforme profonde du système pénal marocain, en vue de l'harmoniser avec les principes de liberté, justice et droits de l'homme, et à la refonte du concept de la sanction et son application, dont une véritable réforme d’institutions pénitentiaires, selon une approche des droits de l’homme conforme aux normes internationales et les règles minimales de traitement des prisonniers.Dans ce sens, la Coalition marocaine appelle à approuver les résolutions du Comité onusien des droits de l'homme émises en 2004 ayant recommandé la réduction au minima du nombre d'infractions passibles de la peine de mort et aussi la commutation de la peine au profit de personnes condamnées, dans la perspective d'une abolition définitive.
La Coalition, qui exprime également sa "forte indignation" à propos des conditions matérielles, psychologiques et humaines graves des condamnés à mort au sein des prisons au Maroc, réitère son appel à l'ouverture des prisons aux visites d'organisations de défense des droits humains pour s'enquérir de l'état des lieux et contribuer à l'amélioration des conditions d'incarcération, dans le cadre d'un véritable partenariat entre toutes les parties concernées.
La Coalition appelle, d'autre part, toutes les composantes de la société marocaine à soutenir son combat visant l'abolition législative et judiciaire de la peine de mort et invite les médias à contribuer à la sensibilisation de la société à la nécessité d'abandonner cette peine et à promouvoir la culture de tolérance et des droits de l’Homme, dont le droit sacré à la vie.A noter que les tribunaux marocains continuent à prononcer des condamnations à mort, mais cette peine n'a pas été appliquée depuis 1994.

Rabat - 09/10/2008 / afriquenligne.fr
10.10.08 16:26
http://basta.20six.fr/basta/art/112332099/

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jeudi, octobre 09, 2008

S'UNIR POUR UN MONDE SANS MISÈRE UNE MOBILISATION PERMANENTE

Le 17 octobre 1987, l'Appel figurant au verso et gravé sur le Parvis des liberté et des droits de l'Homme
- Soutenir et mettre en relation ceux qui agissent ou veulent agir avec des personnes très pauvres à travers le monde pour construire avec elles une autre manière de lutter contre la misère. C'est à dire une manière qui respecte la dignité de chacun, qui s'appuie vraiment sur la réflexion et les propositions des pauvres eux-mêmes avec l'ambition de vaincre la misère.

- Montrer que ceux qui agissent ainsi ne sont pas des personnes isolées, mais constituent déjà un courant à travers le monde. Un courant minoritaire, certes, mais très dynamique, qui crée de vrais changements sur tous les terrains : accès au logement, aux soins, à l'éducation, au travail, à la formation, aux nouvelles technologies, à la citoyenneté, à la culture, à la vie en famille, etc.
- Encourager de nouvelles personnes à s'impliquer pour mieux comprendre la réalité de la misère et les possibilités d'agir, afin que ce courant se développe. Il s'agit de toucher tous les milieux sociaux et toutes les tranches d'âges dans un maximum de pays.
- Interpeller les courants de pensée philosophiques, culturels et religieux, les mondes universitaire et artistique pour qu'ils prennent en compte ce courant de lutte contre la misère.
- Interpeller les pouvoirs publics à tous les niveaux : locaux, nationaux et internationaux, pour leur demander de prendre en compte la vitalité de ce courant et d'y contribuer. Pour cela ils peuvent s'informer et tenir compte dans leurs décisions politiques et administratives des résultats positifs obtenus par les acteurs de ce courant et soutenir financièrement ces initiatives pour qu'elles se développent plus largement.
Les soutiens nécessaires
- Chaque citoyen peut se mobiliser pour contribuer à mettre en œuvre une des actions proposées. A l'échelle locale, ils peuvent se regrouper pour unir leurs idées et leurs forces.
- Les personnalités du monde culturel, artistique, spirituel, sportif, économique, scientifique, politique au plan national ou international peuvent manifester leur accord avec cette campagne en signant la Déclaration de Solidarité, en participant à la Journée Mondiale du Refus de la Misère le 17 octobre et en disant publiquement pourquoi elles le font.
- Les particuliers et les acteurs économiques peuvent soutenir financièrement la campagne « Refuser la misère, un chemin vers la paix », afin de couvrir les frais que celle-ci occasionne, notamment pour la collecte des signatures de la Déclaration de solidarité et l'organisation des rassemblements de la Journée Mondiale du Refus de la Misère.
- Les médias peuvent faire connaître la Journée mondiale du refus de la misère à travers des émissions, des articles et la publication gratuite de supports publicitaires.
- Les pouvoirs publics peuvent soutenir le 17 octobre en les faisant connaître, en les finançant ou avec des soutiens matériels (locaux, espaces publics, etc).

9.10.08 15:48
Lire aussi :
815 millions en 2002.
854 millions en 2006.
En 2007, ce sont plus de 925 millions de personnes qui souffraient de la faim.
Combien seront-ils demain ?

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mardi, octobre 07, 2008

Les GI's ne sont pas les bienvenus en Afrique

Cérémonie d'activation de l'AfricCom (1er octobre 2008). De gauche à droite : amiral Mike Mullen (chef d'état-major interarmes), Henrietta H. Fore (directrice de l'aide internationale à l'USAID), Robert M. Gates (secrétaire à la Défense), porte-drapeau, général William E. Ward (commandant de l'AfriCom), sergent major Mark S. Ripka (AfriCom).
George W. Bush voulait déployer les GI's en Afrique à la recherche du pétrole et des matières premières. La création d'un commandement unifié des troupes US en Afrique était une priorité des deux dernières années de sa présidence. Le projet se bornera finalement à une réorganisation administrative, les États africains ayant refusé d'aide militaire généreuse de Washington.
Les GI's ne sont pas les bienvenus en Afrique
par Stefano Liberti / 6 octobre 2008 / Réseau Voltaire
Ils auraient voulu fêter la naissance de leurs activités sur le sol africain. Mais les responsables de l'AfriCom, le nouveau commandement pour l'Afrique créé par le département de la Défense, opérationnel depuis le 1er octobre 2008, ont du trinquer sur le sol froid de Stuttgart, en Allemagne, où la structure a du garder son quartier général, malgré elle. L'AfriCom avait été lancé avec l'objectif de « rationaliser la gestion existante » —jusque là les pays africains tombaient sous la compétence de trois commandements militaires US différents— et ceux, moins avouables, de contrôler les réserves pétrolifères du continent et de s'opposer à l'avancée chinoise dans la nouvelle lutte pour les ressources ; mais il a en fait connu un re-dimensionnement progressif et incoercible. Sa création a été annoncée dès février l'an dernier, avec de grands objectifs pour un avenir glorieux. « La base d'AfriCom sera installée sur le sol africain » avait déclaré le général William « Kip » Wald, ex-responsable des troupes US en Bosnie et vice-commandant européen, nommé pour diriger la nouvelle créature en vertu surtout de ses origines afro-américaines. « À partir d'octobre 2008, le commandement AfriCom sera installé en Afrique » avait repris en écho Jendayi Frazer, la sous-secrétaire d'État aux Affaire africaines. Au département d'État et à celui de la Défense, on semblait n'avoir aucun doute : les pays africains allaient se battre pour avoir la base d'AfriCom sur leur sol. Puis, face à une longue liste de refus, on a du peu à peu y repenser ; pour finir par admettre —il y a quelques mois, quand la situation était désormais définitivement compromise— que « pour le moment » la base d'AfriCom resterait en Allemagne. C'est l'Afrique du Sud qui allait entamer le chœur de critiques, par la déclaration de son ministre de la Défense qui avait affirmé que les pays africains « s'opposent à la création d'un commandement unifié sur le continent ».
La position de Pretoria a été ensuite reprise par toute la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC), l'organisation régionale qui réunit 14 pays de l'Afrique australe. Suivie à très peu d'intervalle par le non d'autres états de poids, comme l'Algérie, la Libye et le Nigeria. Tous pays qui non seulement ont exclus l'éventualité que la base d'AfriCom puisse se dresser sur leur sol mais ont aussi exercé une « persuasion morale » sur leurs aires d'influence respectives. C'est ainsi que la Communauté des États sahélo-sahariens (Cen-Sad) créée par la Libye, comme la la Communauté économique d'Afrique Occidentale (Cedeao/Ecowas) où le Nigeria a un rôle prédominant, se sont rangées officiellement contre la naissance d'AfriCom en Afrique. Finalement, un seul pays —le Liberia d'Ellen Johnson-Sirleaf, qui voyait dans la création du commandement une opportunité pour la reconstruction de son pays par ses amis de la bannière étoilée— s'est offert pour accueillir la base. Mais la carence en infrastructures dans un pays qui vient à peine de sortir d'une guerre civile dévastatrice, en plus de la contrariété suscitée chez les États voisins, a poussé le commandement à refuser l'offre de Monrovia. Il y a quelques mois, les anti-Africom avaient découvert un soutien inattendu de l'ex-président de la Banque mondiale, ex-secrétaire adjoint à la Défense et « faucon » impénitent de la première administration Bush, Paul Wolfowitz. « Je ne suis pas du tout convaincu qu'AfriCom, dont la création m'a pris par surprise, soit une bonne idée. Je peux parfaitement comprendre que les Africains, qui n'ont certainement pas oublié notre appui dans le passé à des dictateurs comme Mobutu, expriment une résistance à la présence de soldats américains (états-uniens, Ndt.) sur leur propre sol », avait déclaré celui qui a été l'architecte de la guerre en Irak.
Aux critiques de Wolfowitz ont succédé celles de certains représentants démocrates, qui s'interrogent eux aussi sur l'utilité du nouveau commandement et qui, surtout, demandaient des comptes sur les dépenses et perspectives futures. « Il semble que nous soyons en train de créer AfriCom pour protéger le pétrole et combattre les terroristes, selon la même procédure erronée que celle avec laquelle nous sommes allés combattre des terroristes dans d'autres régions du monde » a dénoncé Stephen Lynch, représentant démocrate du Massachusetts. En effet, personne ne semble avoir de doutes sur les intentions réelles d'AfriCom : renforcer la présence militaire sur un continent de plus en plus important du point de vue géostratégique.
Le vice président Dick Cheney l'avait déjà annoncé dans son National Energy Policy [1]en mai 2001 : les importations étasuniennes de pétrole du Golfe de Guinée doivent augmenter progressivement pour se substituer aux provisions de pays non fiables et peu amicaux, comme le Venezuela de Chavez. Ce qui, depuis lors, s'est produit de façon ponctuelle, même si ce n'est pas au rythme souhaité par le vice-président de Bush : les importations de brut d'Afrique de l'Ouest sont passées de 10 % en 2001 à 15 % actuels. AfriCom s'insérait aussi dans ce dessein général : établir des rapports militaires intégrés avec des pays producteurs et battre de vitesse la Chine dans la lutte pour s'accaparer le pétrole brut africain. La gifle du continent africain à propos de la création de la base n'est pas un bon signe pour les perspectives futures de Washington au sud de la Méditerranée.

Documents joints

Africa Command : U.S. Strategic Interests and the Role of the U.S. Military in AfricaÉtude du Service de recherche du Congrès, 22 août 2008.(PDF - 544.1 ko)

AFRICOM's Dilemma : The "Global War on Terrorism" "Capacity Building," Humanitarianism, and the Future of U.S. Security Policy in AfricaÉtude du Strategic Studies Institute de l'École de guerre des États-Unis, novembre 2007.(PDF - 347.9 ko)
Stefano Liberti
Article initialement paru dans Il Manifesto du 2 octobre 2008.
Traduction Marie-Ange Patrizio[1] « Les ombres du rapport Cheney », par Arthur Lepic, Réseau Voltaire, 30 mars 2004.

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lundi, octobre 06, 2008

Du 9 au 16 novembre 2008 : Sixième Semaine contre le Mur d'Apartheid

Dans le cadre de la mobilisation nationale et internationale pour commémorer les 60 ans de la Nakba palestinienne (Catastrophe), au cours de laquelle des millions de Palestiniens ont été soit massacrés, soit déplacés par les milices et l'armée sionistes, la Campagne Populaire Contre le Mur d'Apartheid et ses comités populaires appellent à la Sixième Semaine contre le Mur d'Apartheid.
Par Stop The Wall / ism-france.org/news
6.10.08 18:03 /
Six ans après le début des premières manifestations de masse contre le Mur d'Apartheid dans le nord de la Cisjordanie, l'occupation et les bulldozers de l'armée visent encore nos terres et notre peuple.
Nous avons tenu bon, en interrompant les travaux de construction de nos propres mains, en défendant notre terre et en pleurant nos derniers martyrs - Ahmad Moussa (12 ans) et Amira Yousef (17 ans) de Ni'lin - qui ont donné leur vie pour la lutte contre le mur. Nous vous demandons d'être solidaires :
Mobilisez-vous et faites-vous entendre

pour la Sixième Semaine contre le Mur d'Apartheid,

du 9 au 16 novembre 2008.

Le Mur est presque achevé, entrainant le confinement des Palestiniens de Cisjordanie dans des bantoustans séparés.
Il y a 60 ans, le dépeuplement ou la destruction de 531 villes et villages palestiniens, les massacres impitoyables et le déplacement de plus de 750000 Palestiniens de leurs foyers et de leurs terres ont transformé la majorité des Palestiniens en réfugiés et placés ceux qui sont restés dans leur patrie sous un régime d'apartheid. Aujourd'hui, le mur menace de finir le projet de nettoyage ethnique et de vol des terres qui a commencé en 1948.
Serpentant à travers la Cisjordanie, le Mur a isolé 78 villages palestiniens, séparé les communautés et détruit leurs moyens de subsistance. Certains sont pris au piège entre le Mur et la Ligne Verte, où l'accès n'est autorisé qu'avec des laissez-passer par des portes avec des heures d'ouverture limitées.
La plupart sont emprisonnés de trois côtés par le Mur, les routes de colons ou les colonies, avec une seule sortie contrôlée par l'Occupant. 14 de ces villages sont menacés de démolition imminente et risquent d'être rayés de la carte.
Le Mur règle également le sort de milliers de Bédouins palestiniens. Menacés d'expulsions depuis 1948, l'occupant renouvelle ses attaques contre eux, afin d'évacuer les terres de la Vallée du Jourdain et autour de Jérusalem avant de les annexer.
Les autorités de l'Occupation poussent plus de 6000 Bédouins Jahalin, qui vivent à l'est de Jérusalem, à vivre dans des camps rekuzim ( «de concentration» afin de faire de la place aux colonies juives.
La lutte pour Jérusalem est arrivée à un stade critique, alors que l'Occupant regroupe et agrandit les colonies qui entourent la ville. La construction du tramway, qui reliera les colonies juives au centre-ville, est en cours d'achèvement. Les démolitions de maisons ont fortement augmenté, la construction des colonies est en plein essor et les Forces d'Occupation attaquent et ferment régulièrement les institutions palestiniennes, les manifestations et les sites religieux.
Alors que l'Occupant renforce sa mainmise sur la Cisjordanie, nous ne devons pas oublier les habitants de Gaza soumis à un siège médiéval et oubliés par la communauté internationale, qui continuent à rester inébranlables. Ils ont été les premiers à faire sauter le mur et leurs actions illustrent la résistance et la détermination du peuple palestinien.
La Cour Internationale de Justice a statué que le Mur est illégal et a exigé qu'il soit détruit et que toutes les lois et ordonnances qui s'y rattachent soient annulées. La Cour a rappelé à la communauté internationale son obligation de ne pas prêter aide ou assistance au Mur et de faire respecter le droit international, y compris la décision de Cour Internationale de Justice. À ce jour, la communauté internationale n'a pas encouragé d'initiative concrète pour la mise en application de cette décision.
Au lieu de cela, les Nations Unies et la communauté internationale ont fermé les yeux ou même encouragé l'Apartheid et le nettoyage ethnique israéliens. Le processus d'Annapolis parrainé par les États-Unis et soutenu par la communauté internationale aboutit à un "accord linéaire», à savoir que tandis que l'Occupant n'aura pas à changer sa politique, il aura obtenu la signature des négociateurs palestiniens qui compromettent nos droits.
A ce jour, le seul moyen efficace de promouvoir la justice en Palestine est l'appel palestinien au Boycott, aux Retraits d'Investissements et aux Sanctions publié en Juillet 2005. L'adoption au niveau mondial de l'appel a jusqu'ici fourni un soutien plus que nécessaire à notre lutte
Nous vous demandons de soutenir la résistance du peuple palestinien par une mobilisation contre le Mur et le régime d'apartheid qu'il a créé sur le terrain. Nous demandons à ceux qui croient encore dans la justice, l'humanité, la libération et la résistance contre la tyrannie de vous tenir à nos côtés et de :
1. Montrer votre solidarité avec la lutte palestinienne contre le Mur d'Apartheid
2. Dénoncer l'occupation, l'apartheid et le colonialisme israéliens
3. Mettre fin au soutien mondial à l'apartheid israélien
Visitez notre site internet et utilisez notre matériel de sensibilisation afin de préparer vos événements et manifestations:
1) >"Villes et villages palestiniens, entre Isolement et Expulsion» : une étude détaillée des communautés menacées de nettoyage ethnique par le Mur de l'Apartheid. Téléchargez le PDF en français en cliquant ici ou contactez-nous à :global@stopthewall.org pour obtenir des sorties papier.
2) "Villes et villages palestiniens, entre Isolement et Expulsion» – la fiche: un court résumé des principaux faits et chiffres. Téléchargez la fiche à l'adresse suivante : http://stopthewall.org/
3) "Les Arabes Jahalin: de la Nakba au Mur": une étude approfondie sur l'histoire des Bédouins Jahalin, de leur expulsion de Tal 'Arad à aujourd'hui. En se basant sur de nombreux récits oraux, les Jahalin racontent leur propre lutte. Téléchargez le PDF en anglais à l'adresse suivante : http://stopthewall.org/ ou contactez-nous à : global@stopthewall.org pour obtenir des sorties papier.
4) "Sur le chemin du retour à Tal Arad – les Arabes Jahalin": un documentaire de 25 minutes sur les Arabes Jahalin et leur lutte pour la dignité et leur retour à Tal Arad. Pour obtenir le DVD, contactez-nous à l'adresse suivante : global@stopthewall.org
5) "Villages menacés - 6 années de lutte": une exposition-photos qui illustre la réalité et la lutte des Palestiniens des villages menacés par le Mur et les communautés bédouines dans le contexte de la Nakba actuelle. 36 photos, y compris les légendes. Pour pré visualiser l'exposition, voir: http://stopthewall.org/
Pour avoir des informations sur l'exposition-photos et les légendes, contactez-nous à l'adresse suivante : global@stopthewall.org
Développez vos campagnes de Boycott, aux Retraits d'Investissements et aux Sanctions. Pour de plus amples renseignements, matériel et mises à jour, visitez : http://www.bdsmovement.net/
Mobilisez autour de vous contre la politique de l'occupation et le Mur d'Apartheid!
Contactez vos médias!
Contactez vos représentants politiques
! Arrêtez le soutien à l'Apartheid israélien!

Source : http://stopthewall.org/

Traduction : MG pour ISM

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