samedi, janvier 16, 2010

USA/Israël: Infiltration des sites Web d'information alternatifs par les agents Sionistes



Cet excellent article documente de façon officielle l'action des divers gouvernements à la solde des Sionistes contre les sites d'information alternatifs. Beaucoup d'agents Sionistes viennent inonder quotidiennement notre site Alter Info, discréditant le fait que de tels groupes d'agent de propagande payés par les gouvernements existent, et renvoyant la balle à la plupart des honnêtes contributeurs et lecteurs de notre site et d'autres sites alternatifs authentiques.

Il est inutile de lister leur nom car ces énergumènes changent régulièrement de pseudo et d'IP, mais méfiez vous d'une partie d'entre eux qui gardent le même pseudo et qui restent discrets tant qu'ils ne sont pas grillés, afin de susciter la confiance et d'être à même d'infiltrer ces sites. Par ailleurs, il existe aujourd'hui plus de sites alternatifs secrètement à la solde des gouvernements que de sites authentiques. Vous reconnaîtrez ces sites par leurs méthodes : les commentaires n'apparaissent qu'après modération, postez donc un commentaire qui sort des sentiers battus et vous verrez qu'il n'apparaîtra jamais. Ils ont aussi souvent l'habitude de mélanger des bribes d'informations justes, afin de se donner de la crédibilité avec beaucoup d'informations similaires à la presse d'Etat Sioniste. Ils sont aussi généralement très récalcitrant à diffuser des informations accusant les Sionistes, les Satanistes, les religions New Age. Ils critiquent certains faits mais jamais les valeurs Satanistes de notre société. Exemple : Comment voulez vous être crédible si vous parlez du Nouvel Ordre Mondial sans croire à la culpabilité des Sionistes dans le 9/11 ? Si vous dénoncer les malversations des élites sans jamais évoquer leurs pratiques Satanistes et ses implications sur notre société au quotidien. Il est inutile de lister ses sites, ils poussent comme des champignons, ils ont l'air d'avoir les moyens (pas de publicité pour un site de haut standing !!!), mais il suffit de voir leur News du jour pour se rendre compte de la supercherie. Le principal organe de dénonciation des malversations de nos gouvernements Satanistes sont depuis belle lurette les sites d'information alternatifs. Les partis politiques d'opposition et les associations ne pouvant pas agir efficacement, combien même ils seraient honnêtes, du fait qu'il leur faut des moyens financiers considérables pour jouir d'une visibilité conséquente. Voila qui explique l'acharnement des gouvernements "Satanistes" contre Alter Info et divers autres sites. Le but du jeu est d'apprendre à les démasquer en reconnaissant leur empreinte, leur "signature". Ils agissent en effet toujours sous les mêmes procédés, c'est à dire botter en touche, critiquer violemment sans aucune base d'argumentation crédible, et quand vous leur répondez, ils ne chercheront pas à tenir compte de vos propos dans leurs réponses, mais chercheront toujours à discréditer ce que vous dites sans aucune base crédible. Ils agissent également par la peur et la menace afin d'éloigner les plus fragiles. Leur but est toujours de susciter le doute même quand l'information est à la fois vérifiable dans les faits et par la logique des enchaînements des événements. Ne vous inquiétez donc pas, leurs tentatives ne seront que vaines, car vous reconnaitrez aisément leur style et leurs arguments calqués sur les documents de propagandes que leur fournissent les divers services secrets, me vous étonnez donc pas qu'ils soient incapable de rebondir intelligemment sur vos arguments. Il est parfois bon de les signaler, afin d'avertir les lecteurs inattentifs, mais cela serait trop d'honneur pour eux de débattre avec eux d'égal à égal. Le libre penseur n'étant pas l'égale de l'esclave Sataniste, tout juste bon à recracher les mensonges qu'on lui inculque. Selon un article récemment révélé écrit par Sunstein pour le Journal of Political Philosophy, le Professeur de Droit à Harvard, Cass Sunstein, nommé par Obama pour diriger le Office of Information and Regulatory Affairs, a décrit un plan pour que le gouvernement infiltre les groupes conspirationnistes dans le but de saper leur travail en postant des commentaires sur les chats et les réseaux sociaux, mais aussi infiltrer de vraies réunions.
(NdW : note de AlterInfo)

Comme nous avons souvent averti, les chats, les réseaux sociaux et en particulier les sections de commentaires des articles sont habituellement « animés » par des trolls, beaucoup d'entre eux se posent comme des intervenants normaux afin de créer un faux consensus, essayant systématiquement de discréditer toutes les informations discutées, indépendamment que l'information soit crédible et bien documentée. Nous avons constaté ceci sur nos propres sites Web depuis des années et bien que certains de ces individus disent faire cela pour leur propre plaisir, un nombre significatif d'entre eux semblent être rémunérés pour cela dans le cadre d'un vrai emploi, postant systématiquement les mêmes sujets de discussion maintes et maintes fois.
C'est un fait fermement établi que le complexe militaro-industriel qui possède également les réseaux de médias aux Etats-Unis a de nombreux programmes destinés à infiltrer les principaux sites Internet alternatifs pour répandre leurs propagandes afin de discréditer la vérité concernant les méfaits du gouvernement et l'occupation en Irak et en Afghanistan.
En 2006, CENTCOM, le Commandement Central des Etats-Unis, a annoncée qu'une équipe d'employés serait recrutés pour engager des « bloggers qui postent des informations imprécises ou inexactes, mais aussi ceux qui postent des informations incomplètes », au sujet de la soi-disant guerre contre le terrorisme. (1)
En Mai 2008, il a été révélé que le Pentagone a augmenté ses « opérations informatives » sur Internet en installant de faux sites Web étrangers d'information, conçus pour ressembler aux sources de médias alternatifs, mais diffusant en réalité de la propagande militaire directe. (2)
Des pays comme Israël ont également admis avoir créé une armée de trolls en ligne dont le travail est d'infiltrer les sites Web pacifistes et d'agir en tant qu'apologistes pour les crimes de guerre de l'Etat Sioniste. (3)
En Janvier de l'année dernière, l'Armée de l'Air US a annoncé la mise en place d'un plan de réponse « anti-blog » dont le rôle est de répondre au pied levé et de réagir au matériel produit par les bloggers qui ont « des avis négatifs au sujet du gouvernement US et de l'Armée de l'Air. » (4)
Le plan, créé par le branche des relations publiques de l'Armée de l'Air, comporte un organigramme en 12 points d'« anti-blogging », qui détaille comment les officiers doivent aborder ceux qui sont décrits comme étant des « trolls, » des « ragés, » et les auteurs en ligne « mal orientés ».
De nouvelles révélations accentuent le fait que l'administration Obama vise délibérément « les groupes conspirationnistes » dans le but de réduire au silence ces personnes qui sont devenues les plus violents et influents critiques des gouvernements.
Dans un article publié en 2008 dans le Journal of Political Philosophy, le tsar de l'information d'Obama, Cass Sunstein, a décrit un plan pour que le gouvernement infiltre furtivement les groupes qui posent des théories alternatives sur des événements historiques par l'intermédiaire des « chats, des réseaux sociaux en ligne, ou même des groupes physiques afin de saper » ces groupes. (5)
Le but du programme serait « de briser le noyau dur d'extrémistes qui fournissent des théories de conspiration, » a écrit Sunstein, en faisant une référence particulière aux organismes pour la vérité sur le 9/11.
Sunstein a précisé qu'avoir simplement des gens dans le gouvernement pour réfuter ces théories conspirationnistes ne fonctionne pas, car ils sont en soi peu fiables, ce qui rend nécessaire « d'enrôler des fonctionnaires non gouvernementaux dans l'effort de réfuter ces théories. Ainsi le recours à des experts indépendants crédibles pourrait permettre de réfuter ces théories, plutôt que d'utiliser des fonctionnaires du gouvernement.
Cependant, Il y a une différence entre être crédible et avoir le contrôle.
Le prix de la crédibilité est que le gouvernement ne peut pas être vu comme contrôlant les experts indépendants, » a-t-il écrit.
« Dit en anglais, ce Sunstein propose est une infiltration par le gouvernement des groupes s'opposant à la politique actuelle, » écrit Marc Estrin. (6)
« Il est facile de détruire des groupes avec une « diversité cognitive. « Vous prenez juste le temps de tenir des réunions pour trouver des arguments que les gens ne contesteront pas. Vous faites des signes de protestation qui aliènent 90% des collègues. Vous suscitez la violence révolutionnaire auprès des groupes pacifistes. »
Voila ce qui Sunstein préconise quand il écrit sur la nécessité d'infiltrer les groupes de conspiration et de susciter la méfiance parmi les membres afin d'étouffer le nombre de nouvelles recrues. C'est un modèle classique d'infiltration par la « provocation » qui émane du programme du FBI entre 1956 et 1971, focalisé autour de la perturbation, marginalisation et la neutralisation des dissidents politiques. (7)
« Sunstein a argumenté que « le gouvernement pourrait entreprendre une tactique (légale) pour briser le petit groupe de penseurs qui alimentent les théories extrémistes. » Il a suggéré que des « agents du gouvernement (et leurs alliés) aillent sur les chats, les réseaux sociaux en ligne, ou même dans des groupes physiques pour tenter de saper les théories de conspiration, en soulevant le doute sur les faits, la logique et les implications sur l'action politique, » rapporte Raw Story. (8)
Sunstein a également appelé à la création de sites Web fiables pour poster des commentaires en réponse aux articles. Son livre, « On Rumors : How Falsehoods Spread, Why We Believe Them, What Can Be Done » (sur des rumeurs :
Comment le faux se répand, pourquoi nous les croyons, ce qui peut être fait), a été critiqués par certains comme étant un « modèle pour la censure en ligne. »
Le bureau d'Infowars a été visité à de nombreuses occasions par le FBI en raison de personnes signalant des commentaires violents en réponse aux articles. Depuis, le gouvernement emploie maintenant des personnes pour signaler de tels commentaires afin d'essayer de saper ces sites Web conspirationnistes, et si une loi passait, cela permettrait de rendre ces sites Web pour responsables, le programme de Sunstein permettrait au gouvernement d'effacer tout simplement l'indexation de ces sites Web, simplement en utilisant contre eux les menaces faites par ces crétins contre des personnalités publiques.
Le fait que le gouvernement soit forcé d'engager des armées de trolls dans un effort de faire taire la vérité montre à quel point ils s'inquiètent des effets produits en réveillant des millions de personnes de leur tyrannie.
lien de l'article original: propagandamatrix

(1) : rawstory
(2) : infowars
(3) : prisonplanet
(4) : infowars
(5) : papers
(6) : theragblog
(7) : en
(8) : rawstory

alterinfo

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mercredi, janvier 13, 2010

La colère monte contre le « mur d'acier » : l'Égypte trahit Gaza



Les sentiments de colère ne cessent de monter contre la barrière métallique qui s’élève entre les territoires palestiniens de la bande de Gaza et les territoires égyptiens.
Beaucoup croient que c’est un pas supplémentaire visant à renforcer le blocus imposé sur plus d’un million et demi de Palestiniens emprisonnés chez eux depuis plus de trois ans.
Un député égyptien interroge son gouvernement
Le député égyptien Mohammed Al-Omda a questionné son gouvernement sur ce mur d’une profondeur de 18 à 30 mètres.
Le député a questionné Fathi Srour, président du Conseil du peuple, le parlement égyptien, sur le mur.
Ce mur traduit la nature de la relation existante entre l’Egypte, les Etats-Unis et les Sionistes. En fait, l’Egypte n’est plus qu’un Etat américain qui exécute les ordres fédéraux, sans discussion, dit le député.
Le député égyptien a également critiqué le silence de son pays face à la guerre menée par l’Entité sioniste contre le Liban, face à la division du Soudan par les Américains, face à la guerre agressive israélienne menée contre Gaza.
Non seulement le gouvernement égyptien tient cette attitude négative, mais il exécute aussi, avec application, les informations données pour renforcer le blocus imposé sur la bande de Gaza. Il commence même à enterrer un mur métallique afin de couper toutes les veines de la vie d’un peuple arabe, musulman et chrétien.
Renforcer le siège sur les Palestiniens
Pour sa part, la « Campagne européenne pour briser le blocus » a également catégoriquement condamné l’installation du « mur d’acier » sur les frontières égyptiennes, sous prétexte de vouloir limiter le creusement de tunnels par lesquels passent des produits pour les Palestiniens assiégés.
La campagne est sûre que le « mur d’acier » construit à une profondeur d’une vingtaine à une trentaine de mètres ne fait qu’approfondir la haine entre les peuples. Et installer le mur, sans retrouver une porte de sortie réelle de la grave crise du blocus imposé sur la bande de Gaza, ne fait qu’aggraver encore plus la tragédie des habitants de la bande.
La « Campagne européenne pour briser le blocus » lance alors un appel solennel au président, au gouvernement et à tous les responsables égyptiens à assumer leurs responsabilités politiques, humaines et morales envers la bande de Gaza. Il faut travailler pour lever le siège de Gaza, en ouvrant le point de passage de Rafah et en laissant tomber définitivement le « mur d’acier ».
La tragédie du blocus qui étouffe un million et demi d’humains dans la bande de Gaza exige de la république arabe d’Egypte qu’elle y mette fin par la simple ouverture du point de passage de Rafah pour laisser passer les besoins humains, médicaux, alimentaires, énergétiques. Ainsi, les tunnels perdront toute raison d’être.
Une menace stratégique pour Gaza
L’ingénieur Nazar Al-Wahidi, expert en eau souterraine, de son côté, dit que le « mur d’acier » assiège la bande de Gaza économiquement. Il constitue surtout une menace réelle, dangereuse et stratégique pour l’eau souterraine de la Bande.
En fait, le mur complétera les pièges des eaux creusés par les occupants israéliens sur les frontières est et nord de la bande de Gaza. Il s’ajoutera également au siège aérien et maritime imposé par les occupants israéliens et par l’OTAN.
Le « mur d’acier » envenimera la réserve souterraine des eaux commune entre la bande et l’Egypte. L’ingénieur Nazar Al-Wahidi exhorte alors les experts égyptiens à intervenir pour la protéger.
Le « mur d’acier », ce nouveau siège, n’empêche pas seulement la nourriture et l’énergie d’arriver dans la bande de Gaza, mais aussi l’eau !
La position des ulémas
Le cheikh Abdou Al-Majid Al-Zandanie, doyen de l’Université Al-Iman du Yémen, a catégoriquement condamné ce mur et a appelé les ulémas de l’Université Al-Azhar à intervenir. Le gouvernement égyptien doit comprendre qu’assiéger un Musulman, surtout au niveau de la nourriture, constitue un acte d’assassinat lent, un acte qui viendra à l’encontre de l’Islam, à l’encontre des gens des plus croyants que sont les Palestiniens.
Déraciner les arbres !
Pour construire le mur, les autorités égyptiennes ont déraciné des dizaines d’arbres sur toute la longueur des frontières égyptiennes avec la bande de Gaza, dit Solyman Ouad, membre du conseil municipal de la ville de Ravah, du côté égyptien.
Les fermiers égyptiens ont reçu une compensation, dit le responsable. Mais qui viendra en aide à la bande de Gaza assiégée depuis plus de trois ans ?!
Que dit le régime égyptien ?
Ahmed Abou Al-Ghayd, ministre égyptien des affaires étrangères, dit au journal Al-Sharq Al-Awsat que l’Egypte a toute la liberté de faire ce que bon lui semble, sur ses territoires, pour assurer sa sécurité. Personne n’a le droit de dicter à l’Egypte ce qu’elle doit faire ou ne pas faire, surtout que son pays est toujours prêt à défendre les droits palestiniens, s’excuse-t-il.
Les critiques s’enchaînent
C’est surtout de l’intérieur de l’Egypte que les critiques contre le « mur d’acier » s’élèvent.
Des journalistes et des écrivains égyptiens ont critiqué les déclarations d’Abou Al-Ghayd, ministre égyptien des affaires étrangères. Ils voient dans la construction du « mur d’acier » comme une soumission aux ordres sionistes, américains et européens. Ils appellent cette barrière métallique "le mur de la trahison", étant installée entre l’Egypte et ses frères arabes, musulmans et palestiniens déjà durement assiégés.
Deux murs discriminatoires de séparation !!
Maintenant, le gouvernement construit un « mur d’acier », sous une égide américano-européenne, autour de la bande de Gaza. Ce mur nous rappelle qu’il y a déjà un autre mur discriminatoire de séparation construit sur les territoires de la Cisjordanie. Ce mur est encore là, bien que la Cour Internationale de la Justice (CIJ) de La Haye a catégoriquement condamné la construction par l’Entité sioniste d’un mur discriminatoire de séparation sur les territoires palestiniens.
On a vraiment honte d’apprendre qu’un autre mur de séparation discriminatoire creuse la terre sur nos frontières avec la bande de Gaza, écrit le journal égyptien Al-Dostour. Ce mur installé avec l’aide des Américains et des Israéliens réalisera les mêmes objectifs criminels que le mur de la Cisjordanie : isolement et siège, souffrance et famine. On veut fermer tout espace d’où arrive un peu de nourriture !
Qu’Allah, continue le journal, punisse notre gouvernement (égyptien) qui dépense des millions de dollars de l’argent du peuple égyptien pour affamer un peuple frère, le peuple palestinien de la bande de Gaza assiégé dans sa prison à ciel ouvert la plus grande du monde depuis plus de trois ans. Le siège qui étouffe la population de Gaza, plusieurs régimes arabes dont surtout le régime égyptien y participe depuis un an. Qui viendra en aide à ce peuple ?
Dieu seul le sait.

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mardi, janvier 12, 2010

L’Egypte interdit tout convoi international de solidarité avec le peuple de Gaza

Les manifestants palestiniens de l’autre côté de la frontière ont laissé éclater leur colère contre le pouvoir égyptien - Photo : MaanImages

Les autorités égyptiennes disent vouloir mettre en place un nouveau mécanisme pour acheminer l’aide internationale aux Palestiniens dans la bande de Gaza, suite aux tensions générées par l’arrivée du récent convoi d’aide pour Gaza, a déclaré ce vendredi le ministre égyptien des affaires étrangères, Ahmad Abou Al-Gheit.

Le nouveau mécanisme exigera que toutes les aides destinées à la bande de Gaza soient remises au Croissant-Rouge égyptien (dirigé par la femme d’Hosni Mubarak - N.d.T) à l’administration d’Al-Arish (pour y pourrir sur place ou pour être revendues ? Comme c’est trop souvent le cas ? - N.d.T). Les aides seront prise en charge par le Croissant-Rouge égyptien et remises au Croissant-Rouge palestinien à Gaza après un inventaire (ce qui permettra de faire le tri entre ce qui sera livré ou non afin de se plier aux exigences israéliennes - N.d.T), a expliqué Abou Al-Gheit dans le journal égyptien « Ash-Sharq Al-Awsat ».
La décision intervient après que des affrontements aient éclaté à la frontière de Rafah lorsqu’un convoi de militants internationaux a appelé les autorités égyptiennes à ouvrir la frontière de Gaza et à permettre à 500 militants solidaires de Gaza et 220 camions transportant de l’aide (avant tout médicale) d’entrer dans le territoire assiégé. La manifestation, appuyée par des partisans du Hamas de l’autre côté de la frontière de Gaza, a tourné à la violence et un soldat égyptien est mort par balles.
Les forces de sécurité égyptiennes s’étaient attaquées plus tôt dans la semaine à une autre large délégation de militants internationaux arrivés au Caire dans l’espoir d’organiser une « Marche de la Liberté pour Gaza » à la veille de la nouvelle année. Plus de 1300 militants solidaires de la cause palestinienne se sont vu refuser l’entrée à Gaza, et une série de manifestations organisées en Égypte ont été violemment réprimées. La loi égyptienne interdit les rassemblements publics de plus de six personnes (l’état de siège étant reconduit chaque année et datant de plusieurs décennies... - N.d.T).
Le ministre des égyptien des affaires étrangères a déclaré à la presse que la question palestinienne était plus que simplement une question d’aide et passages de frontières, notamment à Rafah. Il a déclaré que la question était beaucoup plus large, prenant note de la rivalité inter-palestinienne entre le Hamas et le Fatah, et qu’elle avait été banalisée ( ?) par les récents événements (pour savoir qui est ce « ministre » Abou Al-Gheit, rappelons qu’il se vantait il y a deux ans de « vouloir briser les os » des Palestiniens de Gaza s’ils s’avisaient de quitter le territoire assiégé pour l’Egypte, paraphrasant ainsi Yitzhak Rabin qui avait donné l’ordre de « briser les os » des Palestiniens durant la première Intifada. On a les modèles que l’on mérite - N.d.T).

9 janvier 2010 - Ma’an News Agency - Vous pouvez consulter cet article à : http://www.maannews.net/eng/ViewDet... Traduction : Info-Palestine.net / 10 janvier 2010 / Info-palestine

12.1.10 21:15
http://basta.20six.fr/basta/art/173723379
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