samedi, février 28, 2009

La réalité sur les États-Unis et Israël

Bien que cela puisse semble tout à fait évident, je vais quand même dire que nous avons souvent tendance à oublier qu’une communication intelligible est essentielle à la compréhension mutuelle. Sans compréhension commune de ce que nous nous disons les uns aux autres, nous nous retrouvons à la dérive au Babel-land. Le risque pour nous tous de l’absence de compréhension commune ne pourrait être surestimé.
Sott, Simon Davies, 23 février 2003
27 Février 2009 / Alterinfo
28.2.09
Au milieu du déluge de renflouages, de paquets de sauvetage et de stimulus, il n'y a aucune communication claire concernant exactement pourquoi sont prises ces mesures et comment elles entendent améliorer la vie des gens ordinaires. Il est évident que c’est délibéré. Si nous, les gens normaux de la planète, avions une compréhension commune de ce qui se passe réellement, nous déciderions que nous n’approuvons pas, nous conviendrions précisément du pourquoi nous n’approuvons pas et nous nous accorderions probablement sur ce que nous souhaiterions voir se produire à la place. Ceux qui contrôlent notre monde savent cela, aussi font-ils en sorte qu'aucune entendement commun ne perce ; ils ont besoin de la confusion. En fait, ils créent la confusion.

Ils le font parce que, si suffisamment de gens parvenaient vraiment à saisir ce qui se passe réellement sur cette planète, une masse critique pourrait être atteinte, et nous déciderions collectivement de ne plus tolérer la manière d’être du monde et, plus important encore, nous pourrions avoir une direction commune pour sortir de la pagaille.

Afin d’assurer que nous ne puissions développer cette direction commune, les contrôleurs, ou les Managers, comme les appelait Douglas Reed, veillent sans cesse à ce que nous soyons en état de confusion. La condition préalable à la réalisation de cette confusion, c'est que nous soyons maintenus en état de peur mutuelle constante, grâce auquel nous considérons les « autres » comme une menace, tant pour nous que pour nos biens, notre statut social, position au travail, place dans notre communauté, situation économique et même pour notre survie.

Nos sociétés ont été organisées de telle manière que les riches craignent les pauvres, la classe moyenne a peur des travailleurs syndiqués, les races et les croyances religieuses se craignent l’une l’autre, et ainsi de suite quasiment à l’infini. Nous rivalisons plutôt que coopérons et nous redoutons et haïssons plutôt qu'aimons et compatissons. Toutes nos religions, tous nos partis politiques, toutes nos croyances ont été manigancés de manière à nous maintenir en état de peur. Chaque société reflète dans la peur de son peuple les inégalités et l'injustice de sa structure sociale et le programme politique et social du gratin régnant.

Pour la plupart des gens dans les pays soi-disant « libres » du monde occidental, la peur est en général envers l’un l’autre, et envers l’étranger, qu'il soit immigrant ou « terroriste, » mais cette situation a changé, car nous avons de plus en plus conscience de l’effrayant pouvoir de l’État quand il manifeste sa brutalité contre nos manifestations, quand il rogne peu à peu nos « libertés » et engage nos nations dans des guerres et des exactions criminelles et immorales. Afin d'accumuler de plus grands pouvoirs pour lui-même, l'État manipule la peur des gens, sous prétexte de « guerre contre le terrorisme », « guerre à la drogue », d'immigration et d'insécurité économique. La superposition de la peur est un barrage constant à l'information contradictoire, la fausse information et la désinformation étant échafaudées de manière à ce qu'aucune image nette de la réalité ne puisse être perçue. En un mot, l'État utilise la technique du Transmarginal Inhibition [sorte de programmation pavlovienne, ndt] pour rendre la majorité des gens passifs, apathiques, dociles et confus.

Les gens en état de confusion perpétuelle sont impuissants et incapables d'action collective cohérente. La tactique a toujours été de diviser pour régner.

Il se déroule une lutte qui décidera de l'avenir de cette planète et de sa population. Contre les gens normaux se déploie un système morbide, dominé par des psychopathes de toutes races, croyances et couleurs. Ces psychopathes n’ont pas un objectif bien compréhensible pour les gens normaux ; leur but est le pouvoir, le pouvoir pour eux-mêmes. Ils ne poursuivent aucun objectif stratégique politique ou économique, il n'existe aucune terre précise qu'ils convoitent, ni degré de richesse qu’ils ambitionnent, car il n'y a pas suffisamment de terres, ni assez de richesses pour les satisfaire. Il n'existe pas non plus de limite à la souffrance qu’ils infligeront pour avoir l’air de se réjouir des bains de sang, des actes de torture et de la misère. Ils cherchent le contrôle absolu, aucun marché ni pourparler ne peut les satisfaire, il n'y a aucun traité qui puisse mettre fin à leur progression avide, ni principe qui puisse les limiter.

Chaque institution de notre monde, nos gouvernements, entreprises et religions, reflètent l’aliénation du psychopathe. Nous avons grandi et élevé nos enfants dans un monde dominé par cette morbidité et ces êtres.

Pourtant, le psychopathe a une faiblesse fondamentale. Comme tout prédateur rodant dans la nature, dont le manger dépend de leur camouflage, ils ont une peur immense d’être découverts. C'est cette peur innée d’être exposé domine une grande partie de ce qu'ils font et explique l’état d'immense peur et de confusion dans lequel ils nous maintiennent. La peur et la confusion du monde sont un stratagème délibéré des psychopathes pour éviter d’être découverts.

Nous ne pouvons lutter avec des armes de guerre contre les psychopathes et le système malsain qu'ils ont créé, car ils contrôlent la plus grande des machines de guerre que le monde ait jamais vu ; nous ne pouvons réussir par aucun autre moyen qu’une simple et toute-puissante révolution, une révolution de vérité. Pour que la vérité révèle le mensonge et que le psychopathe dépérisse à la lumière de la vérité.

Comme Saint Paul l’a admirablement déclaré, la vérité nous rendra en plus libres. Elle nous libérera de la peur et de la confusion, car la vérité n'est pas politique, religieuse ou autre, elle se dresse sur elle-même. Mais trouver la vérité n'est pas tâche aisée, car elle demeure cachée derrière des voiles et des voiles. Notre tâche est donc d’ôter sans pitié chaque voile ; sans pitié surtout pour nous-mêmes et la vague chaleur des mensonges religieux et philosophiques que nous avons utilisé comme de la laine sur nos yeux.

Nous découvrirons sur le monde et sur nous-mêmes des horreurs qui interpelleront tout ce que nous prenions pour acquis, mais, si nous n'avons pas le cran de faire face à ces horreurs, à ces vérités sur nous-mêmes et notre monde, nous perdrons, et le monde sombrera dans des ténèbres d’où il ne pourra plus jamais se redresser. Les psychopathes dominent le monde depuis des millénaires, mais aujourd'hui ils ont le pouvoir de détruire ce monde sans la capacité de comprendre ce que cela signifie réellement. Comme Andrew M. Lobaczewski l’a présenté dans Ponérologie politique, « Les microbes ne savent pas qu'ils seront brûlés vifs ou enterrés profondément dans le sol avec le corps humain qu’ils font mourir. »

Lorsque nous éliminons les mensonges, le système qui nous retient captifs ne ressemble plus au monde dans lequel nous pensions vivre. Toute limite et caractéristique du monde en lesquelles notre conditionnement nous faisait croire sont des illusions artificielles, créées tout simplement comme cadre de contrôle. Pour ceux qui mènent véritablement le monde, il n'y a pas de frontières ; pour eux il n'y a ni État nation, ni loi, ni moralité ; il n’y a que le pouvoir.

L'argent et l'économie ne sont que des outils d’obtention du pouvoir, de sorte que tout ce que nous observons dans le domaine économique et de l'argent découle tout simplement de l’accumulation perpétuelle de pouvoir. Pourtant, nous devons comprendre que le système, la Matrice, n'est pas quelque chose que nous découvrirons soudain un jour et que nous serons capables de désigner en disant : « voyez, elle est là, » car elle nous entoure ; tout ce que nous voyons est au mieux un simple reflet de ce qui se passe à des niveaux que nous ne pouvons pénétrer.

Dans cet esprit, revenons à la question de la confusion. Il nous semble que l'immense confusion entourant la crise économique est un élément clef pour percevoir la Matrice. Il nous semble que ceux qui mènent le monde, les Managers, comptent sur cette confusion pour faire en sorte que nous prenions une voie particulière qui est à leur avantage. Nous pensons que la voie qu’ils nous font descendre est proche d’une débâcle économique totale entraînant le naufrage de l'ordre social existant et l'imposition d’une dictature militaire ouverte. C’est la conséquence finale évidente de ce qu'ils font et c’est donc leur intention.

C'est précisément le scénario envisagé en novembre 2008 dans une monographie de l'Institut des Études Stratégiques intitulée « Known Unknowns : Unconventional 'Strategic Shocks' in Defense Strategy Development, » (Inconnus notoires : ‘Chocs stratégiques’ non conventionnels dans le développement de la stratégie de défense) dans laquelle il est indiqué :
La violence civile répandue à l’intérieur des États-Unis pourrait en dernier recours forcer l’ordre établi à réorienter les priorités pour défendre l’ordre national élémentaire et la sécurité humaine. L’usage délibéré d’armes de destruction de masse ou tout autre moyen catastrophique, effondrement économique imprévu, détérioration du fonctionnement politique et de l'ordre légal, résistance interne déterminée ou insurrection, urgence sanitaire généralisée dans le public, et catastrophe naturelle et désastre humain sont autant de pistes pour un choc perturbateur dans le pays.
C'est aussi la raison pour laquelle la police métropolitaine du Royaume-Uni a entamé une guerre de propagande contre la population au moment où ils ont rendu compte au journal The Guardian :
Le commissaire de police Hartshorn David, qui dirige la branche de l'ordre public de la police métropolitaine, a dit au Guardian que des individus de la classe moyenne, qui n’auraient jamais envisagé de participer à des manifestations, pourraient désormais chercher à évacuer leur colère dans des protestations cette année.
Il a dit que les banques, en particulier celles qui continuent encore à payer de grosses primes malgré qu’elles aient reçu des milliards de l’argent du contribuable, sont devenues des « cibles persistantes. » Il en va de même pour le siège social des compagnies multinationales et des autres institutions financières de la City, qui sont responsables de la crise financière.
Hartshorn, qui organise régulièrement des réunions d'information sur les causes possibles des troubles civils, a déclaré que l'état d'esprit dans certaines manifestations a récemment changé, avec des activistes qui ont de plus en plus « l'intention de descendre dans la rue pour créer des troubles contre l'ordre public. »
L'alerte arrive à la suite de violentes manifestations contre le traitement de l'économie en Europe. Au cours des dernières semaines, les agriculteurs grecs ont bloqué les routes à cause de l’échec à relever les prix agricoles ; un million de travailleurs ont pris part à des manifestations en France pour demander une plus grande protection de l'emploi et des salaires ; et les manifestants se sont affrontés à la police de Reykjavik en Islande.
Au Royaume-Uni, le mois dernier, des centaines de travailleurs de la raffinerie pétrolière ont lancé une grève sauvage contre le recours aux travailleurs étrangers.
Des rapports du renseignement indiquent que « des activistes connus » sont aussi de retour dans les rues, et les policiers affirment qu'ils vont fomenter des troubles. « Ces gens pourraient bien motiver les gens, mais ils n'ont pas la capacité de mettre réellement à exécution les manifestations, » a déclaré Hartshorn. « Manifestement, le ralentissement économique, le chômage, les saisies, changent cela. Soudain, il existe pour les gens la possibilité d’une manifestation de masse. »

Il est évident qu’aux États-Unis et au Royaume-Uni, ceux qui contrôlent l'armée, la police et le renseignement sont à la recherche d’un conflit généralisé. Ils sont tout simplement en train de préparer les esprits à la violence qu'ils ont eux-mêmes projeté de déchaîner sur nous. Cette violence sera utilisée pour justifier la dictature, la répression civile, les arrestations massives et l'incarcération sans procès.
Dans son From Smoke to Smother (De la fumée à en étouffer) (1948), Douglas Reed prévoyait exactement ce scénario quand il écrivait sur la Dictature Mondiale qu’il voyait monter sous le couvert de l'Organisation des Nations Unies, introduite grâce aux « pouvoirs d'urgence », à la « direction du travail » et au « rationnement du pain. »
Nous avons désormais les « pouvoirs d'urgence » en place : le Patriot Act, la loi relative aux commissions militaires, etc aux Etats-Unis, les lois relatives au terrorisme au Royaume-Uni (pour n'en nommer que quelques-unes). Bientôt nous aurons la « direction du travail, » car, l'économie tombant en ruines, pour les compagnies mondiales, travailler pour l'État ou grâce à l'État deviendra une nécessité face à la famine. En temps voulu, avec la débâcle du commerce mondial et de la structure sociale, il y aura sans aucun doute quelque sorte de « rationnement du pain. » Que ce soit un véritable rationnement ou plutôt un simple moyen de privation contre ceux qui ne s'inclinent pas devant le pouvoir de l'empire étasunien et israélien.
Pourtant, nous voyons à présent que l'Organisation des Nations Unies pourrait avoir toujours été une couverture. Depuis 50 ans, les fondamentalistes chrétiens et les théoriciens de la conspiration des États-Unis et d’ailleurs, déclament avec véhémence sur le Nouvel Ordre Mondial de l'ONU tout en décrivant les États-Unis en bastion des libertés et seule puissance qui puisse s'opposer à l'ONU et au monde. Cela a rendu les gens très imaginatifs incapables de voir où se trouve le véritable danger.
Même Douglas Reed considérait l'ONU comme l’organisme supranational qui imposerait la première Dictature Mondiale. Et à quel point s’est-on trompé quand on voit l'invasion de l'Irak fondée entièrement sur des armes imaginaires, les brimades envers l'Iran parce que ce pays est sur le chemin de l'hégémonie des États-Unis et d’Israël, pendant que le génocide éhonté perpétré par Israël est passé inaperçu encore moins abordé par les Nations Unies impuissantes ?
De la même manière, nous serons confrontés à un ou plusieurs organismes supranationaux établis, comme l'Organisation des Nations Unies l’a été, au prétexte du « plus jamais ça. » Cette fois, le « plus jamais ça » est d'ordre économique, mais il deviendra militaire à la suite de l'agitation sociale et de la violence étatique. Les mêmes mensonges seront débités pour justifier ces institutions, comme dans les années 40, et, encore une fois, il y aura cachés derrière ces repoussoirs ce qui dirige véritablement le monde : les États-Unis et Israël.
Les Managers ont conçu cette crise, sa forme, portée et ampleur, de manière à ce que nos gouvernements ne puissent rien faire en dehors des limites qui leur sont imposées, même s’ils voient et comprennent dans quel piège nous sommes tous.
La crise bancaire a été manigancée habilement grâce à la transformation de la banque en casino mu par la cupidité à haut risque, permise par la fourberie de la disparition de toute réglementation, et au surplus de la masse monétaire. Le système bancaire est d’une nature telle qu'il aboutit inévitablement à l’endettement poussé par la bulle du prix des actifs, qui extirpe des millions aux prisonnier de la dette et fait perdre des milliards aux esclaves. Année après année, les fusions bancaires ont abouti à un petit nombre de banques qui en viennent à dominer le monde, avec pour conséquence inévitable le fait que l'existence même du système entier repose désormais sur leurs épaules.
Pourtant, on a délibérément permis à ces banques d’être dirigées de façon désinvolte et immorale, avec très peu de supervision adéquate. De même, le monde est devenu dominé par un petit nombre de compagnies mondiales qui contrôlent l'accès à l'énergie, à l'alimentation, et aux autres choses essentielles et non essentielles de la vie. Nos systèmes politiques sont devenus otages de l'intérêt de ces empires bancaires et corporatistes. Nos gouvernements sont tellement dominés par eux que l’administration étasunienne a été qualifiée de « gouvernement Sachs » en référence au nombre de postes ministériels occupés par des gens de Goldman Sachs.
Les gouvernements de nos nations ne sont désormais plus que de simples marionnettes des banques et des compagnies qui dominent le monde, elles-mêmes marionnettes des Managers cachés qui imposent leur autorité grâce à la puissance militaire et l’État policier.
C’était tout le piège, conçu pour aboutir exactement à cette situation sans échappatoire évidente. Nos dirigeants politiques, nos fonctionnaires, nos banquiers et dirigeants d'entreprises, sont tous le produit d'un système qui leur a fourni un cadre de réalité fallacieux, limité et manigancé de telle sorte que le psychopathe monte au sommet et que le non-psychopathe devienne si désespérément contaminé qu'il pourrait aussi bien être psychopathe. Leurs croyances sur le monde sont tellement aliénées qu'ils se permettent de piller et détruire des populations et des nations entières, et se justifieront de la répression et de la destruction de leur propre peuple. On nous dit pourtant que nous devons nous en remettre à ces gens pour nous sortir de la chienlit qu'ils ont créé.
La grande majorité de ces gens n’ont pas créé sciemment ce gâchis, ils ont tout simplement participé à sa création parce que c'est leur manière d’être, c’est le reflet de leur nature, ils ne peuvent être autrement et ne pouvait rien faire d'autre.
Mais derrière eux se trouvent ceux qui sont très conscients des actions qu'ils prennent et qui ont un agenda clair et précis. La manière de travailler de ces Managers est simple, ils comprennent la nature des psychopathes, puisque c'est la leur, et les faiblesses des gens normaux, et ils jouent avec eux. Ils élaborent des environnements dans lesquels prospéreront les psychopathes et où deviendront dominants les points faibles des gens comme la cupidité et l'avarice. Le système capitaliste du marché libre est exactement ce genre de cadre, un milieu facile à truquer par les Managers pour créer tous les effets qu’ils souhaitent.
Le dénouement qu’ils ont voulu et cristallisé est l'effondrement du système, exactement comme nous le voyons ; l'inévitable bataille frénétique de leurs larbins pour les « solutions, » qui font elles-mêmes partie du plan, avec l’organisation simultanée du pillage des trésors nationaux dans le monde entier, de manière à arracher le maximum de richesses, augmente la dette de manière exponentielle et crée des personnages détestés dans les banques et chez les banquiers pour que les masses dirigent leur colère contre eux.
Chaque pièce de l'échiquier a sa raison d’être. Les dirigeants politiques sont choisis pour leur caractère, que ce soit Obama, pour son charisme apparent, au contraire de Bush, Brown, pour son air maussade, ou Sarkozy, pour son arrogance sans borne. Les banques ont été organisées de manière à faire faillite, pour ensuite solliciter l'argent public au dégoût et à la colère inévitable des masses. Les machines de guerre ont été endurcies au combat, le personnel militaire et policier conditionné à la mentalité « guerre à la terreur, un terroriste demeure dans chaque individu, » les gens ont suscité la peur et la confusion. La masse des gens a été réduite à une foule ignorante et confuse, aisément dirigée, manipulée dans la violence ou la soumission, exactement comme le souhaitent les Managers. À aucun moment les Managers ne peuvent être identifiés, car ils ne sont jamais sur l'échiquier.
Pour beaucoup, l'idée que notre monde est un échiquier géant est indigeste. Ceux-là retombent dans les illusions de la Matrice, recherchant toujours une explication plus confortable, plus rassurante. Comme le disait Douglas Reed, « Les hommes sont prompts à trembler devant les dangers imaginaires et lents à voir les vrais. »
Nous sommes entraînés vers l'apocalypse économique, l’effondrement de la société et la dictature totalitaire ; c’est aussi simple que ça. Refuser la réalité rend victime, l’affronter construit l’avenir des gens.
Original : www.sott.net/articles/show/177021-Cutting-through-the-illusion-The-Grand-ChessboardTraduction libre de Pétrus Lombard pour Alter InfoNote du traducteur :
Pour creuser le sujet des Managers, ceux qui ne le connaissent pas encore peuvent se référer au Disclosure Project de Steven M. Greer (Révélations, en français, est trouvable sur Internet au format pdf). C’est peut-être le plus grand secret sur notre Terre.
Pour résumer l’affaire, il s’agit pour l’essentiel d’une quantité faramineuse de révélations, faites surtout par d’anciens militaires. Ils dévoilent l’existence d’une réalité extraterrestre intelligente derrière le phénomène OVNI omniprésent. Ces extraterrestres seraient tous, sans exception, des êtres supérieurs animés par de bonnes intentions, la compassion et le désir d’aider à corriger le foutoir calamiteux sur Terre.
Cette réalité extraterrestre, et tout ce qui l’accompagne, science véritable, technologie de pointe extraordinaire et énergie libre et propre illimitée, serait maintenue cachée par un groupe d’hommes, les fameux Managers de Reed, grâce à un système de contrôle cloisonné impliquant plusieurs cercles concentriques de sous-fifres, militaires et autres, pas forcément tous corrompus. À mes yeux ces révélations sont confortées, par exemple, par le fait que des âneries bornées sont débitées à longueur de temps par les astrounoironomes du bigbanguisme dans les « prestigieuses revues » de désinformation scientifiques, alors que sont étouffées les évidences fructueuses de la Cosmologie du Plasma, divulguées comme ils le peuvent par les scientifiques de l’IEEE et les théoriciens de l’Univers Électrique.
Le but des Managers serait de garder son bétail humain à sa botte (ça pourrait expliquer le mystère de la nécessité du parasitisme style tique sur Terre, un sommet de réalisation que ces Managers parferont certainement dans leur prochaine réincarnation sur Terre).
Ce serait ce groupe qui, pour que l’humanité ait une peur bleue des extraterrestres et ainsi ne tombe pas sous leur influence transcendante, effectuerait les horribles abductions sur des gens (selon Greer, surtout sur des personnalités importantes pour les gagner à la guerre des étoiles) et les éviscérations de bétail qui foisonnent dans la littérature OVNIesque. Cette littérature d’horreur serait favorisée par les Managers pour contrer les récits de rencontres quasi-miraculeuses vécues de nos jours par une multitude de gens sains d’esprit ou rapportées depuis des lustres par les traditions de tous les peuples indigènes du monde.
Enfin, les Managers disposeraient de technologies très avancées, tirées des travaux de savants comme Tesla ou d’OVNI abattus, qu’ils garderaient pour eux. Leur solution pour garder la Terre vivable et rétablir l’équilibre environnemental serait tout bonnement, plutôt que de libérer les brevets sur l’énergie libre et propre qu’ils ont confisqué, de réduire leur bétail par quatre.

28.2.09 17:43
http://basta.20six.fr/basta/art/164127315/

Latest entries: Maroc: Tensions sociales et reprise des émeutes , Maroc :Forest réfugiés globe . , Gaza. « Nous accusons les dirigeants israéliens de crimes contre l’humanité », Afghanistan : un nouveau cauchemar commence , communiqué Presse association elborje Tanger (Maroc) de la solidarité et de développement.

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vendredi, février 27, 2009

communiqué Presse association elborje Tanger (Maroc) de la solidarité et de développement.

Au: 02.27.2009
association elborje de la solidarité et de développement.

Étant donné les conditions difficiles rencontrées par le village de Borj Tanger fahs anjra examiné à la suite d'une grave négligence par les conseils élus et les autorités régionales. Surtout après l'effondrement de la route en raison de l'isolement dû à l'érosion du sol, le seul résultat de l'acte illicite des travaux des pierres les travailleurs ont le plus bas et un document prouvant leur statut de ne pas parler de la grave dans lequel ils opèrent.

Au niveau des droits économiques et sociaux: le niveau alarmant parmi les chômeurs et 98 par l'analphabétisme est très répandu. Parmi les femmes et 70 pour cent et 98 Parmi les hommes.
Le niveau de la santé: il n'y a pas de clinique de domaine afin de garantir le droit à l'accès au traitement .
Le niveau d'éducation: le début de l'école se caractérise par la détérioration de 2008-2009 les établissements d'enseignement dans la construction d'infrastructures de soudure et de l'absence d'un grand nombre des enseignants en l'absence de mouvement par le biais de l'effondrement de la route principale du village et le manque d'accès des enfants à l'école.
Au niveau du secteur de la jeunesse: il n'ya pas de Maison des jeunes de la région terme en l'absence de terrains de jeux, des jeunes a souffert de négligence et de la marginalisation et un sentiment de frustration,
Au niveau des ressources forestières: la destruction de terres agricoles et de forêts par vider la poussière et le manque de reboisement et de la destruction de la végétation et le bétail. Au niveau du droit au développement: l'absence de l'enregistrement complet Bmdashr tour et la région.
Au niveau de l'infrastructure de soutien: la seule route effondrée à cause de la pluie et avec des travaux hors la lois.
Sur la base, et a décidé par un groupe de la population afin d'établir une définition des problèmes du village avec les autorités locales et la recherche de soutien pour promouvoir le développement de la région et de rompre l'isolement.

Conformément aux exigences du dahir n ° 206.102 du premier Joumada 1423 et approuvé 23 Juillet 2002 la loi n ° 75.00 et complétant le dahir n ° 1.58.367 du 3 Joumada I 1378 et Novembre 15, 1958. Fondée l'Assemblée générale dune association porte le nom de la solidarité, le développement et l'examen de la tour à base de renouvelable fahs anjra Tanger.

Et demander l'aide de l'objectif de former les membres du Bureau en raison du manque de connaissance du travail des associations. Et l'Assemblée à l'appui de leurs demandes légitimes et de soutien dans ses premiers pas et, si possible, de fournir des outils et du matériel en vue de l'Office de la fondation des individus ne pouvaient pas acheter les outils nécessaires pour le travail d'une association .
27.2.09 18:27

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jeudi, février 26, 2009

Afghanistan : un nouveau cauchemar commence

Hélicoptère américain sur l’Afghanistan, 17 février 2009 - Comme toutes les armées d’invasion dans le passé, les Etats-Unis et leurs alliés de l’OTAN seront tôt ou tard chassés d’Afghanistan. Mais après combien de souffrances pour le peuple afghan ?
mercredi 25 février 2009 - Ramzy Baroud / Info-palestine

La majeure partie de l’Afghanistan est devenue un champ de bataille entre un occupant illégitime et des milices afghanes considérées par un nombre de plus en plus important d’Afghans comme une légitime force de résistance, écrit Ramzy Baroud.
Lorsque l’envoyé des Etats-Unis en Afghanistan, Richard Holbrooke, a rencontré le 14 février Hamid Karzai, le président afghan « démocratiquement » mis en place, il a peut-être pris connaissance de l’importance historique du jour qui suivait. En effet le 15 février est le jour de commémoration de la fin de la sanglante campagne russe contre l’Afghanistan (d’août 1978 à février 1989).
Mais il est peu probable qu’Holbrooke assimile l’importance de cette leçon historique. Lui-même et le nouveau président américain Barack Obama sont convaincus que ce qui fait défaut pour gagner la guerre en Afghanistan est un plus grand engagement — comme le doublement des troupes — des dépenses militaires croissantes, et gagner les coeurs et les esprits en investissant plus dans le développement du pays. Cette combinaison, comme en est persuadé le gouvernement des États-Unis, dissuaderait par la suite les Afghans de soutenir les Talibans, les milices tribales, les nationalistes pachtounes et d’autres groupes.
Ces derniers mènent une lutte de guérilla dans diverses parties du pays, le plus souvent dans le sud, pour chasser le gouvernement Karzai et les forces d’occupation étrangères. Alors que Kaboul était considérée comme une « oasis de calme » — selon les récits de Jonathan Steele [journaliste au Guardian] — pendant l’époque soviétique, elle est tout sauf proche de cette description sous la conduite des Etats-unis et de leurs alliés de l’OTAN qui ont pourtant eu largement le temps, huit longues années, pour affermir leur contrôle, mais qui ont échoué.
En fait, juste comme Holbrooke s’asseyait dans le palais présidentiel fortement gardé de Karzai, des bombes en bord de routes explosaient à travers le pays, à Khost, à Kandahar et ailleurs. Plusieurs policiers ont été tués, s’ajoutant aux centaines de soldats et d’officiers qui meurent tous les ans alors qu’ils défendent désespérément les quelques symboles de l’autorité du gouvernement central. Hormis son fragile contrôle de Kaboul et de quelques capitales de province, le gouvernement central lutte pour garder le peu de crédibilité dont il dispose encore.
Ceci transforme la majeure partie du pays en un champ de bataille entre les milices afghanes considérées par un nombre de plus en plus important d’Afghans comme une légitime force de résistance contre une occupation illégitime : les forces de l’OTAN et des Etats-Unis.
À la différence de la guerre impopulaire contre l’Irak, la guerre en Afghanistan a été largement considérée aux Etats-Unis comme une guerre morale, basée sur la logique suivant laquelle al-Qaeda étant responsable des attaques terroristes du 11 septembre et cette organisation étant hébergée par un gouvernement taliban tout aussi militant, les deux groupes doivent payer. Jusqu’à aujourd’hui, le peuple d’Afghanistan a payé plusieurs fois le prix escompté. Des milliers d’Afghans ont été tués et une génération entière a été marquée par une nouvelle guerre civile, et maintenant par une nouvelle occupation militaire étrangère.
Tandis que la majorité des consommateurs de nouvelles sont inondés de communiqués officiels et de rapports épisodiques sur les défis attendant les USA en Afghanistan pour imposer la démocratie, la liberté et « les intérêts nationaux », les médias continuent à réduire la bataille pour l’Afghanistan au combat contre la corruption locale, pour les droits de l’homme et l’égalité entre les sexes.
Peu de choses sont dites sur les vraies raisons à l’origine de cette guerre, si ce n’est cette rhétorique apparemment pénible — plus appropriée aux discussions académiques et nullement intéressante — à propos de grandes manoeuvres pour contrôler les zones continentales eurasiennes et qui remontent à la rivalité au cours du 19ème siècle entre les empires britanniques et russes.
Mais il est peut-être approprié de relever que les tentatives désespérées pour contrôler l’Afghanistan ont lamentablement échoué dans le passé. Si Holbrooke souhaite étudier l’Histoire avec plus de profondeur, il devrait savoir que l’Empire Britannique qui alors dominait l’Inde, a été également défait en Afghanistan en 1842 puis à nouveau en 1878. Quant aux dirigeants soviétiques, ils ont cherché une victoire rapide alors qu’ils occupaient Kaboul en décembre 1979, mais uniquement pour se retrouver entraînés dans une guerre plus sanglante qui leur a coûté 15 000 tués (il va de soi que les centaines de milliers de morts afghans sont souvent non mentionnés) et une défaite indiscutable.
Mais d’un autre côté, Holbrooke devrait connaître les détails de la dernière période parce que après tout, c’était son pays qui a armé et financièrement soutenu les forces moujahidines en Afghanistan dans la crainte que l’objectif final des Soviétiques durant la guerre froide ne soit de contester la domination des Etats-Unis dans la région, et par la suite au Moyen-Orient. Après le renversement du Shah d’Iran, stratégiquement désastreux pour les Etats-Unis, la principale superpuissance dans le monde ne pouvait prendre aucun risque.
Mais depuis lors, l’Afghanistan a grandi en importance du point de vue stratégique et politique à cause de sa proximité avec des foyers de tension et certaines puissances régionales, dans une zone stratégique du point de vue énergétique, dont le contrôle est impératif pour l’exploitation des hydrocarbures de cette région de l’Asie centrale.
« Je n’ai pas le souvenir d’un moment où nous avons vu aussi soudainement émerger une région pour devenir si importante stratégiquement que la région de la Caspienne, » avait dit l’ancien vice-président Dick Cheney dans un discours devant des nababs du pétrole en 1998.
La même année, John Maresca, vice-président des relations internationales d’Unocal Corporation avait fait une communication devant un comité de la Chambre [des Représentants] en février 2008 sur les façons de transférer le pétrole de cette région (estimé entre 110 à 243 milliards de barils de brut, représentant une valeur allant jusqu’à 4 trillions de dollars) : « (Une) option est d’établir un sud un pipeline de l’Asie centrale à l’Océan Indien. Une route vers le sud croiserait de façon évidente l’Iran, mais ceci est interdit aux compagnies américaines en raison de la loi sur les sanctions [contre l’Iran]. Le seul autre itinéraire possible est à travers l’Afghanistan. »
Le succès militaire en Afghanistan n’est tout simplement pas possible, pour de nombreuses raisons logistiques, historiques et pratiques. Mais l’échec aura aussi un prix, au moins pour ceux qui tireraient directement bénéfice d’une soumission de la nation rebelle.
L’ex-président Bush et ses alliés n’ont pas transformé l’Afghanistan en une démocratie sur le mode américain, facilement exploitable pour un usage stratégique et économique. En poussant à une solution militaire en Afghanistan, Obama non seulement prépare une nouvelle expérience impériale en faillite pour les Etats-Unis — comme en Irak — mais s’obstine à ajouter le nom de son pays à ceux de la Grande-Bretagne et de la Russie, lesquelles disposaient de meilleures chances de succès mais ont été carrément défaites.
« C’est comme combattre le sable. Aucune force dans le monde ne peut prendre le dessus sur les Afghans, » expliquait à l’agence Reuters Oleg Kubanov, un ancien officier russe en Afghanistan. « C’est leur Terre Sainte ; il leur importe peu que vous soyez russe ou américain. Pour eux nous sommes tous des soldats. »
Il serait opportun qu’Holbrooke prenne quelques heures de son programme chargé dans la région pour tourner ses regards vers l’histoire de l’Afghanistan, parce qu’il en a vraiment besoin.

* Ramzy Baroud est écrivain et rédacteur en chef de « PalestineChronicle.com ». Ses écrits ont été publiés dans de nombreux journaux, magazines et anthologies dans le monde entier.
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mardi, février 24, 2009

Maroc :Forest réfugiés globe .

Mauvais temps faire le fil de tous les fils du soleil chaleureux bonjour dans le camp de «détresse» distribués aux trois groupes de forêt près de la terre à partir du point kilométrique n ° 9 sur la route entre l'état de Quneitra et Rabat. Plus de 1500 personnes prévues Almkrn groupe sous le commandement de M. Yahya Ouest, car la corrélation est encore 8 Février ce dernier camp, composé d'une tente en plastique, après les récentes inondations Baghttha n'a pas trouvé un moyen de cacher que les arbres, un monde forestier. Chaque groupe a dit qu'ils sont les plus touchés et il a été le premier à bénéficier de l'autre groupe, mais ils ont en commun que l'on est «de fournir un logement adéquat et que la seule source de subsistance dans les domaines qui ont été touchées par les inondations».
23/02/2009 / http://74.53.192.83/?artid=19172
Légitime

Dans beaucoup de villes, des immeubles, des maisons sont à l’abandon :
les branches sèches de l’arbre immobilier.
Des espaces qui devraient être librement occupés.
Tant de personnes à la rue sans un rond,
en plus de crever la dalle s’ajoutent les nuits à la belle étoile.
Un acronyme pour unique rêve : le D.A.L. !
En attendant une logique de survie est envisagée.
Légitime car vital mais malgré tout illégal,
un appart’ vacant ne demande qu’à être squatté !
Mais on préfère laisser des gens dormir dehors, faute de bail !
La propriété est l’un des premiers fléaux qui a divisé
les terres, le peuple, pour amener l’inégalité.
La loi des riches pour les riches, créant les défavorisés !
S’organiser pour lutter, exproprier, afin de se réapproprier !
Compagnons de galères, s’entraider pour subsister.
Créer des collectifs et piller ces connards de riches.
Ouvrir des squattes, aménager les terrains en friches.
Pour les mal logés, les sans-logis, les réfractaires, les expulsés.
Ces vies existent, elles ne s’éteindront pas.
Crise ou plutôt bla bla, en aucun cas on se résignera !
2009, par laPrévo / Revoltes
24.2.09 18:52

http://basta.20six.fr/basta/art/163911171/

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lundi, février 23, 2009

Israël-USA: le rapport accablant d'Amnesty

Ce matin, "Amnesty International" a rendu public un rapport extrêmement détaillé sur l'origine des armes controversées utilisées lors du conflit à Gaza en janvier dernier (le document est ici en anglais).

Il est accablant pour les Etats-Unis, qui fournit 95% des armes achetées par Israël.
Y compris, donc, celles avec lesquelles Tsahal a, selon Amnesty, perpétré des "crimes de guerre" (l'ONG dénonce également les crimes de guerre commis par le Hamas).
Voici trois exemples de ce que les enquêteurs d'Amnesty ont découvert sur le terrain.
- Les bombes à phosphore qui ont, le 15 janvier, ont détruit un centre de l'ONU à Gaza ont été fabriquées par l'entreprise Pine Bluff Arsenal située dans l'Arkansas.
- sur le lieu où trois infirmiers palestiniens et un enfant ont été tués le 4 janvier, les enquêteurs d'Amnesty ont trouvé des fragments d'un missile Hellfire AGM114 produit par la firme Hellfire System qui est basée à Orlando, en Floride, et qui est une joint venture des géants américains de l'armement Boeing et Lockheed Martin.
- Ils ont aussi découvert des fragments d'une bombe guidée très puissante: la Mark 82 produite par la firme américaine Raytheon.
Amnesty International détaille aussi l'origine, lorsqu'elle est connue, de l'arsenal du Hamas (essentiellement la Chine, la Russie et l'Iran).
L'ONG demande une suspension de toutes ventes d'armes aux deux belligérants.
Elle demande en particulier au président Obama que l'Amérique accepte un embargo provisoire sur les livraisons militaires à Israël
(solution que j'avais évoquée au milieu du conflit le 10 janvier).
Il y a peu de chance qu'elle soit entendue.
23 février 2009 / globe.blogs.nouvelobs.com/
23.2.09 17:34
http://basta.20six.fr/basta/art/163857135/

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